Nos Combats

DIX RAISONS d'apporter votre soutien au Syndicat de la magistrature

je me syndique

8. Un travail d'approfondissement 
théorique

Parce qu’il ne saurait exister de syndicalisme judiciaire conséquent sans la constitution et l’actualisation d’une doctrine syndicale claire, cohérente et argumentée, le Syndicat de la magistrature n’a de cesse de se confronter aux questions théoriques posées par l’apport du droit et le rôle de l’institution judiciaire et ce, à l’aune des enjeux nouveaux posés par l’évolution de la société.

Ainsi, les groupes de travail du SM produisent des contributions comme celle, en 2010, sur la nécessaire réforme du ministère public, qui demeure d’actualité, et celle, plus récente, sur la comparution immédiate. Ils organisent des colloques, comme l'a fait en 2017 le groupe de travail accès au droit, sur le thème « Les chemins de l’accès au droit : exclusion et droit ».

D’autres événements sont directement organisés par le bureau du syndicat en lien avec des intervenants extérieurs (chercheurs, praticiens…). À l’occasion de ses congrès annuels, il organise des colloques sur des thèmes aussi divers que « De la loi au juge : une imaginaire neutralité », « Le droit et la justice à l’épreuve de la violence terroriste » ou « Liberté, sécurité, soins, la nouvelle diagonale du fou ». Les stages annuels de formation viennent compléter ces réflexions autour de questionnements sur « Une société sous surveillance », « Comment l’économie travaille la norme» ou « Les institutions : en finir avec le déséquilibre des pouvoirs» …

Dans la perspective des élections présidentielles et législatives de 2012, puis de 2017, le Syndicat de la magistrature a travaillé à l’élaboration d’un projet cohérent pour la justice et les libertés articulant constats, analyses et propositions de réforme « Pour une révolution judiciaire ».

Rappel doctrinal de la pensée du Syndicat de la magistrature, cette plateforme aborde de nombreux sujets : la réforme du Conseil constitutionnel, du Conseil supérieur de la magistrature, les nominations, le ministère public, la formation et l’évaluation des magistrats, le fonctionnement des juridictions, le statut pénal des ministres et du chef de l'État, la justice pénale, la justice des mineurs, les contrôles d’identité, les droits des étrangers, le droit du travail…