Comme lors de la commission précédente, un seul membre (et son suppléant) a été élu sur la base de son appartenance au syndicat de la magistrature.
Comme il est d'usage en pratique, le temps de session a été partagé à égalité entre les titulaires et leurs suppléants. Ainsi dans les faits, deux élus du syndicat de la magistrature ont siégé alternativement à la commission avec un investissement identique.
Les deux élus du syndicat qui ne siègent donc jamais ensemble ont néanmoins été en contacts fréquents à toutes les étapes importantes de leur mandat, afin de s'informer de ce qui était décidé, débattu ou remis en question lorsque la commission d'avancement siégeait en leur absence.