Communiqué de presse commun publié le 24 novembre 2020
Justice des mineurs
L’État décide de frapper au porte-monnaie les départements qui résistent au fichage des enfants
Communiqué de presse commun de la CGT, DEI France, Fédération SUD Collectivités Territoriales, Fédération SUD Santé Sociaux, FSU, Gisti, La Cimade, Ligue des droits de l’Homme, Unicef, SNPES-PJJ/FSU, SNUASFP-FSU, SNUTER-La FSU Territoriale, Solidaires, Solidaires-Justice, Syndicat des Avocats de France, Syndicat de la Magistrature au sujet du décret du 23 juin 2020.
500 personnalités et professionnels de l'enfance demandent l'abandon du code de justice pénale des mineurs
Le collectif justice des enfants, dont le Syndicat de la magistrature est un membre actif, aux côtés d'associations (Ligue des Droits de l'Homme, OIP, ...), d'organisations professionnelles (Conseil National des Barreaux) et d'organisations syndicales (Syndicat des avocats de France, SNPES PJJ, CGT..) a adressé une lettre ouverte la ministre de la justice et les parlementaires pour que le projet de code de justice pénale des mineurs soit abandonné et non pas seulement reporté comme l'envisage un projet de loi déposé par le 1er ministre le 7 mai à l'Assemblée nationale. Cette lettre ouverte a recueilli plus de 500 signatures de personnalités diverses et de professionnels de l'enfance.
Quand on veut, on peut ! Une autre justice des enfants
Communiqué de presse rédigé en commun avec le SNPES PJJ-FSU, le SAF, la CGT, l'OIP, la ligue des droits de l'homme, Solidaires, le SNUASFP-FSU, SNUTER-FSU, Sud Santé Sociaux, Sud collectivités territoriales