Au cours de l'année, le Syndicat de la magistrature a eu l'occasion de relayer les actions locales de nombreuses juridictions qui, faute de moyens humains et matériels suffisants, se trouvaient dans l'incapacité de remplir correctement leur mission de service public.


Ces actions se poursuivent, dans un contexte de rigueur budgétaire où les moyens alloués à la justice ne sont pas à la hauteur de son rôle en démocratie.


Vous trouverez par exemple ci-joint un courrier du 12 novembre 2012 que la section du Syndicat de la magistrature du TGI de Meaux a remis au président de cette juridiction et au premier président de la Cour d'appel de Paris afin de les interpeller sur la situation très difficile du tribunal, et de s'opposer - une nouvelle fois - à la délocalisation des audiences du juge des libertés et de la détention au centre de rétention du Mesnil-Amelot.